Groupe I
1214 posts depuis
le 27/4/2008
 |
Bonsoir Philalin, par curiosité, je peux savoir qui vous êtes? un de mes concurrents? j'espère que non !
Lisez-bien entre les lignes, si je n'étais pas passionné, je n'aurais pas été propriétaire pendant plus de 30 ans
La réforme de la façon de diriger est plus révolutionnaire qu'une collection d'idées irréalistes alignées juste pour se faire élire
Je ne peux pas me revendiquer d'aucune association externe à vouloir défendre
Je suis inscrit sur la liste Collège Propriétaires, mais suis également éleveur.
Je pense être encore bien apprécié par mon fair-play dans ce milieu du Trot.
Je considère la relation client/fournisseur doit être réexaminée à tous le niveaux
Pour moi les sociétés de courses sont fournisseurs à la SECF d'infrastructures, de logistiques, de qualité des pistes.
Combien de propriétaires ont vus leurs investissements ruinés à cause d'un mauvais état de la piste, et d'entraineurs aussi
Pourquoi? faute de moyens techniques, humains, d'argent... pourquoi? Quelle part du fonctionnement pour l'entretien des pistes?
En poussant les pourquois on remonte aux causes profondes.
Le PMU est le client de la SECF, qui est l'organe technique qui doit lui fournir des partants, des courses intéressantes pour ses parieurs.
Le produit principal de la SECF est donc l'organisation des courses dans l'intérêt maximal de son client, le PMU, sans "saigner" ses fournisseurs: entraineurs, jockeys, sociétés de courses.
Si le produit proposé, la piste, n'est pas de bonne qualité, les entraineurs et propriétaires fuiront.
Si le produit proposé, la course, n'a pas d'intérêt pour le client parieur, faute de partants, d'horaires, de gavage, vous ne lui vendez pas votre produit.
Ces relations clients/fournisseurs sont devenues essentielles, car SECF est aussi fournisseur pour les autres organisateurs de paris.
Le propriétaire est aussi un client de l'ensemble du système, PMU+SECF+FG, qu'il faut aller chercher par des actions de marketing.
L'éleveur est un fournisseur pour le propriétaire.
Dans une concurrence accrue, un société privée, gérant un hippodrome, pourrait proposer ses infrastructures à la SECF.
A combien se monteraient les royalties demandées par ce fournisseur pour la prestation?
Quel cahier des charges la SECF demanderait-elle de respecter?
A ce que j'ai compris, les Sociétés de courses reçoivent des subventions basées sur les enjeux recueillis des parieurs.
Le modèle économique est bien différent!
Je suis d'avance très intéressé à découvrir comment celà fonctionne, les flux, les blocages.
Je suis pour la transparence, et la SECF devrait éclaircir la teneur ses missions à ses parties prenantes - entraineur compris 
Sinon plus sur les idées de changement:
Je propose de mettre des moyens ou réglements internes pour empêcher les propriétaires mauvais payeurs de nuire aux entraineurs.
Je serais d'avis de faire 2 ligues, ou 3, comme au foot, et vous choisissez en quelle ligue vous voulez concourir, pour 1 ou 2 trimestres, avec un classement type Crack Series par ligue et des propositions de montée ou descente. De cette manière vous pourriez commencer en ligue 3 avec des niveaux de qualification moins difficiles pour les poulains.
Mais pour organiser celà, il faut bien étudier ces nouvelles courses à conditions particulières. L'entraineur inscrirait dans la catégorie avec véto du propriétaire s'il n'est pas d'accord, ensuite on reste dans la catégorie choisie. Pas question que des chevaux surclassés viennent rafler les allocations des plus petites catégories.
Mais bon, le système de gains propose déjà, d'une certaine façon une linéarité de la classification.
Je trouve frustrant pour le propriétaire et l'entraineur d'avoir un 3 ans prêt à courir qui se retrouve 1 / 150 inscrits à une course de 15 partants.
Il y a déjà des doublements et triplement de courses, mais est-ce suffisant?
Organiser des programmes de rattrapage mensuels par régions, avec priorités aux éliminés ?
Je trouve particulièrement indécent les réclamers pour vieux chevaux ayant des compteurs en centaines de milliers d'euros; ces chevaux là n'ont pas besoin des réclamers pour trouver des preneurs. Le système Crack Séries pourrait donner un prix de référence réaliste, et permettre d'organiser des taux de réclamation financièrement réalistes.
Comme vous le voyez, des idées , j'en ai... |
|
