dans le contexte déficitaire où se trouvaient les courses de galop
Celles de trot aussi, rassurez-vous et sans discussion possible. Disons LES COURSES de chevaux tout court.
A noter que cette situation 'déficitaire' nécessitant une 'politique de rigueur' était .. non, pas de panique, je ne vais pas (tenter d') expliquer ici le POURQUOI .. juste le 'comment' ) donc cette situation 'déficitaire' nécessitant une 'politique de rigueur' était spécifique à la filière 'courses de chevaux' et pas spécialement à une ambiance GENERALE de crise économique au niveau national ni au delà des frontières ; si je me souviens bien, la bulle internet était en plein essor, d'autre part les cahiers de commande des SSII et activités annexes commencaient à se bourrer à cause des changements à faire pour le passage à l'an 2000 etc... cet argent roulait, on 'consommait' beaucoup et çà alimentait une bonne partie de l'économie nationale. Tout allait plutôt BIEN en France à cette époque, économiquement parlant, sauf.. les courses de chevaux Peut-être à force de vivre de vivre au dessus de leurs moyens ( ET PAS DU TOUT EN ACHETANT, FAISANT NAITRE OU ENTRETENANT DES CHEVAUX QUI FONT LE SPECTACLE SUPPORT DES JEUX, çà CE SONT DES PARTICULIERS, LES PROPRIETAIRES QUI LE FONT ET QUI LE PAIENT AVEC LEUR ARGENT PERSONNEL, certainement pas celui des Sociétés de Courses --petit rappel... ) étaient littéralement à la limite de la cessation de paiement (plus d'argent pour payer justement les allocations gagnées en courses dûes aux propriétares qui les demandaient.. même si notoirement au galop vous avez la chance d'en avoir qui ne les demandaient jamais .. à cette époque du moins ). Je me demande quand même quand j'y pense, si Evry était resté ouvert, quel aurait pu être le poste budgétaire qui aurait été 'sacrifié' à France-Galop ??? car il en fallait un .. ou même plusieurs... mais sans attendre particulièrement de réponse ici
------------------------------- "OFF TO THE RACES" -------------------------------
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) donc cette situation 'déficitaire' nécessitant une 'politique de rigueur' était spécifique à la filière 'courses de chevaux' et pas spécialement à une ambiance GENERALE de crise économique au niveau national ni au delà des frontières ; si je me souviens bien, la bulle internet était en plein essor, d'autre part les cahiers de commande des SSII et activités annexes commencaient à se bourrer à cause des changements à faire pour le passage à l'an 2000 etc... cet argent roulait, on 'consommait' beaucoup et çà alimentait une bonne partie de l'économie nationale. Tout allait plutôt BIEN en France à cette époque, économiquement parlant, sauf.. les courses de chevaux 
Peut-être à force de vivre de vivre au dessus de leurs moyens ( ET PAS DU TOUT EN ACHETANT, FAISANT NAITRE OU ENTRETENANT DES CHEVAUX QUI FONT LE SPECTACLE SUPPORT DES JEUX, çà CE SONT DES PARTICULIERS, LES PROPRIETAIRES QUI LE FONT ET QUI LE PAIENT AVEC LEUR ARGENT PERSONNEL, certainement pas celui des Sociétés de Courses --petit rappel... ) étaient littéralement à la limite de la cessation de paiement (plus d'argent pour payer justement les allocations gagnées en courses dûes aux propriétares qui les demandaient.. même si notoirement au galop vous avez la chance d'en avoir qui ne les demandaient jamais .. à cette époque du moins 
). 
