Il y en a sans doute un paquet qui sont passés de turfistes passionnés à journalistes sans savoir de quoi il retournait au juste, et ils finissent pas confondre faire du journalisme d'informations et pronostiquer l'information, pour eux ça devient si l'information est bonne c'est ok même s'il n'ont rien recoupé avant et ont utilisé un bruit "savant"...
Je suis aussi frappé quand ils interviewent de leur volonté de mettre en avant leur point de vue, leur opinion, de quelle façon ils ont bien vu les choses... Ils ne semblent pas se rendre compte qu'ils sont des médiateurs et qu'ils devraient plutôt tenter de faire parler leur interlocuteur en leur posant une question ouverte : car il est plus intéressant d'entendre la perception des entraineurs sans les avoir influencé que l'opinion des journalistes qui de toute façon n'est qu'un point de vue lambda ce qui n'est pas le cas de l'entraineur qui détient des infos. Ensuite tout ce que vous voulez en procédant de cette façon sans les polluer on braque beaucoup moins les gens, ils se sentent libérés et je suis sûr qu'avec ce genre d'intervenant les professionnels seraient beaucoup plus décontractés pour s'exprimer...
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