Quand il y a problème ,on explique avec une explication tangible et vérifiable sinon on va vers un cahuzaquerie dont les conséquences seront plus grave....
Oui je suis d'accord avec vous Fakir mais il y a des règles en matière de dopage. et a moins de retrouver la personne concernée, il n y a aucune preuve réellement irréfutable si ce n'est un échantillon positif !
Après la ou il peut y avoir un autre débat c'est sur la nature des produits retrouvés et la définition du dopage : Les drogues (heroine cocaine canabis) me semblent pas être considéré comme des produits dopants dans le sens ou ils améliorent les performances sportives ? C'est plus un problème d'image du sportif qui est devenu un personnage public à part entière...
Attention => selon les textes il n'est pas puni selon ses fréquentations mais parce qu'il a été controlé positif à une substance interdite ! Quelque part, peu importe comment elle s'est retrouvé dans son organisme.
Les drogues (heroine cocaine canabis) me semblent pas être considéré comme des produits dopants dans le sens ou ils améliorent les performances sportives ?
totalement faux,La cocaïne a un effet excitant et défatigant. Lorsque l'intoxication n'est pas dans une phase avancée, elle donne des réflexes mieux ajustés. Elle procure une euphorie qui se double d'un sentiment d'invulnérabilité. Elle augmente la clairvoyance. En cela, ses effets sont assez comparables à ceux des amphétamines...pour les jockeys ça aide, de nombreux cas de jockey s'adonnant à cette drogue en Amérique du nord et du sud ont été dépisté !
Le gros problème c'est le paradoxe entre (si j'ai bien compris) la reconnaissance de l'ingestion involontaire par la commission médicale et l'autisme des commissaires qui le suspendent là où un avertissement sur le thème "M. Pasquier, surveillez mieux vos fréquentations sinon la prochaine fois vous y couperez pas" aurait visiblement suffi au vu des faits... Si encore on parlait d'un produit faisant réellement effet dans l'organisme pendant des mois on pourrait dire "OK ça se comprend, il ne faut pas qu'il en tire même involontairement un avantage" (sans même parler des dangers que ferait courir à ses collègues un jockey qui monterait sous l'influence effective d'un truc pareil), mais là à un moment faut pas charrier. Elle sert à quoi la commission médicale dans ce cas-là, à faire joli et à pouvoir dire "on a fait ça dans les règles, mais si mais si la preuve"? Si l'avis de cette commission ne peut être utilisé qu'à charge mais pas à décharge, autant le dire clairement...
Une fois encore le fonctionnement de France Galop fait froid dans le dos, eux aussi ont visiblement bien intégré La Fontaine: "selon que vous serez puissants ou misérables" et "la raison du plus fort est toujours la meilleure" semblent y faire figure de leitmotiv au quotidien, mais sans aucun recul ni remise en cause.
FPII, Citation :
j'aurais du essayer avant d'en parler.......
Je citerai personne mais vu les posts incompréhensibles de certains sur ce forum, y'en a qui ont non seulement plus qu'essayé mais qui ont en plus déjà dû sniffer ta part et celles de quelques autres...
de toutes les manières, France galop n'aiment pas avoir tort.je serai étonné que France galop revienne en arrière concernant la sanction de Stéphane Pasquier malheureusement. Une seul solution : que tout les jockeys mettent pieds a terre,( quand on voit les enjeux financiers que représente les courses), cette chère société mère, trouverez très très vite une solution.
Le gros problème c'est le paradoxe entre (si j'ai bien compris) la reconnaissance de l'ingestion involontaire par la commission médicale et l'autisme des commissaires qui le suspendent
a commission médicale ,comment et sur quelle base peut elle dire ingestion involontaire ?? ils étaient avec lui ? les commissaires ne sont pas autiste ils jugent des faits concret!
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Stéphane Pasquier
Si l'avis de cette commission ne peut être utilisé qu'à charge mais pas à décharge, autant le dire clairement...
