Groupe II
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tanus, Citation :Ce qui signifie donc la fin des courses de galop sur les "petits" hippodromes et dans moins de 10 ans
les petits hippodromes dont vous parlez, n'ont pas de soucis de partants et la majorité de ces partants sont et doivent rester des chevaux issus d'entraînements alentours. Prenez par exemple le dimanche 17 juillet 2016, courses de galop à : CASTERA-VERDUZA (sud-ouest), CLUNY (centre), ERBRAY (Pays de Loire), LA GACILLY (Bretagne), LA-ROCHE-POSAY et LIGNIERES (poitou), MAISONS-LAFFITTE (Paris), SAINT-MALO (Bretagne), ST-PIERRE-LA-COUR (Ouest), VITTEL (centre-est), ZONZA (Corse). Avant la décentralisation voulue par Lagardère, n'étaient ouvertes aux chevaux issus des centres d'entrainement parisiens, QUE les grands prix de provinces et les entraineurs n'avaient pas besoins d'aller courir leurs chevaux ailleurs qu'en région parisienne parce que le programme était fait de telle façon qu'il y avait des courses pour toutes les catégories et si le cheval n'arrivait pas à gagner son avoine il allait en province... Les trotteurs font de la protection pour les entraîneurs français avec leurs courses "européennes", les chevaux entraînés à l'étranger ne peuvent pas venir courir n'importe quoi au trot, au galop, si. Réclamers, handicaps, petites courses à conditions, regardez les noms d'entraineurs au Croisé Laroche, Strasbourg, Nancy, Vittel, et tout le sud-ouest, des belges, des allemands, des espagnols, non contraints aux visites impromptues des vétérinaires de France Galop... |
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