"Nous nous sentons floués par les Français. Nous avons parcouru 1700 km et nous n'avons reçu aucune excuse de leur part".
AÏe aïe aïe, j'ai peur qu'on ne soit pas près de revoir ce champion en France... quel dommage et quel gâchis. Il faut voir tout le fan-club hongrois qui avait fait le déplacement, ça m'a vraiment fait de la peine pour eux. A un moment, peut-être bien au moment de la 7ème course, j'ai vu l'un d'eux s'approcher des barrières et discuter avec un des gars qui se trouvaient dans le rond de présentation (j'ai supposé que ça devait être en hongrois qu'ils parlaient et c'était assez drôle parce que le mec qui devait bosser à la sécurité pour France Galop parlait cette langue avec un accent... italien ). A la fin de la discussion on a vu le hongrois parler aux autres qui se trouvaient derrière lui et ils sont tous repartis, têtes basses et drapeaux en berne.
Citation :
Ceux la n'ont rien vu n'ont plus, ils s'arretent juste parce que les copains hurlent aux faux départ. Pas de bol pour les premiers qui sont trop loin ou qui ne parlent pas français( voir les deux)
Le coup des jockeys qui ne parlent pas français ça me parait déjà nettement plus crédible que de dire que les français ont l'habitude du système et les autres pas, car vu le lot fourni si tous ceux qui n'ont pas vu le drapeau rouge avaient continué il y en aurait eu nettement plus que ça qui auraient été au bout à mon avis.
Mais juste une question comme ça, pourquoi il n'y a pas un truc du genre une sirène qui se déclenche ou un truc comme ça pour signaler les faux départs? ça rendrait peut-être les choses plus simples, non?
Vous ne pouvez pas créer un sujet. Vous ne pouvez pas éditer les sujets. Vous ne pouvez pas ajouter des sondages. Vous ne pouvez pas attacher des fichiers. Vous ne pouvez pas répondre aux sujets. Vous ne pouvez pas supprimer. Vous pouvez voter.
Rendez-vous sur C-F.fr
courses-france.com reste en ligne en tant qu'archive mais n'est plus en service.
). A la fin de la discussion on a vu le hongrois parler aux autres qui se trouvaient derrière lui et ils sont tous repartis, têtes basses et drapeaux en berne.
