La décentralisation engagée par Jean-Luc Lagardère au milieu des années 90 n'a pas été gérée au mieux après sa disparition en 2003... Les sociétés de courses régionales ont voulues chacune avoir une part du "gateau", organiser des réunions dites "premium" avec les allocations qui vont avec. Le problème c'est qu'on retrouve à Lyon, à Marseille, à Toulouse, à la Teste ou à Nantes, les mêmes conditions et pratiquement les mêmes allocations que sur les hippodromes dits parisiens. Il n'y a plus de hiérarchie dans le programme, la pyramide est devenue un simple immeuble rempli de courants d'air! Il y a 30ans, seuls les grands prix de province étaient ouverts aux chevaux entraînés à "Paris" (sans différence de poids) et dans le sens contraire, les chevaux de province venaient courir à Paris après avoir montré suffisamment de qualité. Alors bien sûr que ça ne va pas être simple, mais il va falloir revenir à des programmes ascendants et non éparpillés comme on les retrouve aujourd'hui ce qui entraîne des abus à tous les niveaux quand on doit déplacer, pratiquement tous les jours, chevaux et personnels sur des distances impensables. Des courses à conditions à 4 ou 5 partants il y en avait il y a 30 ans aussi, ce n'est pas le problème si à côté il y a des courses attrayantes pour le turfiste genre handicaps, encore faudrait-il que l'offre de jeu soit claire, parce que là aussi c'est un peu la jungle! Un vrai repoussoir pour celui qui veut s'initier ...
Vous ne pouvez pas créer un sujet. Vous ne pouvez pas éditer les sujets. Vous ne pouvez pas ajouter des sondages. Vous ne pouvez pas attacher des fichiers. Vous ne pouvez pas répondre aux sujets. Vous ne pouvez pas supprimer. Vous pouvez voter.
Rendez-vous sur C-F.fr
courses-france.com reste en ligne en tant qu'archive mais n'est plus en service.
