Comme certains le savent ici, je suis moi-même commissaire dans l'Ouest, à première vue, j'ai du mal à comprendre la réaction de mes homologues de Hyères, mais je ne peux pas me permettre de critiquer, défendre ou juger leur décision.
Cependant, je pense que dans ce cas, isl se sont basés sur plusieurs principes :
- en donnant son bâton, le prêteur ne défend pas ses chances - l'emprunteur a-t-il intimidé le prêteur et a-t-il proposé un arrengement - l'échange conduit-il à une course truqée (les commissaires sont garants de l'image des courses)
Le code n'indique rien sur l'échange de cravache, en revanche, il y'a une partie permettant aux commissaires d'agir sur un événement non-inscrit au code, si celà porte atteinte à l'image des courses. Il y'a toujours possibilité de faire appel de cette décision, sachant que la cravache fait partie des éléments que l'on ne pèse pas. Cet argument est loin d'être suffisant, d'autres arguments plus solides auront du mal à convaincre lors de l'appel, sachant que le prêteur a eu geste (certes de solidarité) diminuant ses chances de figurer à l'arrivée.
Si la mise à pied du prêteur est la plus longue, c'est parce que les commissaires ont estimé que son geste a lésé les parieurs
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