Je n'interviens peu sur ce site mais je me dois de confirmer vos propos. La manière de gérer les courses du matin à la nuit ne permet plus de "fabriquer" des chevaux dans de bonnes conditions sauf si on a le personnel. Et encore s'il n'y a pas de bénévoles les écuries ont du mal à gérer les carrières des chevaux à leur disposition. Le gros problème de certains entraineurs est d'être éleveur, propriétaire de leurs chevaux ce qui amène à aller directement dans le "mur". Dans le trot cela est possible mais pas dans le Galop puisque tu ne peut pas être éleveur, propriétaire jockey enfin toutes les casquettes afin d'optimiser ton écurie.
Trop de vocations mais aussi un bagage trop mince pour pratiquer ce métier apporte désillusion à certains. Des chevaux "mal préparés",de jeunes jockeys sans expériences sur des cross et bien d'autres problèmes inhérents ne donne pas une bonne image de ce spectacle. Dommage car d'un autre coté les infrastructures sur les hippodromes ont été modifiées dans le bon sens, les commissaires mieux formés permet une régularité des courses.
Nous sommes à "la croisée du chemin" ou beaucoup dans les années à venir vont être obligés de changer de métier. La Passion c'est bien mais à présent il faut être un gestionnaire hors pair afin de faire son chemin dans cette filière.
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