Le trot vers une interdiction de déferrer ?

pour te répondre je suis favorable a ce que l'on oblige l'entraineur qui veut défferer a faire osculpter par un maréchal et par un veterinaire 1 ou 2 heures avant la course sous peine d'etre indéfferable en cas de souci de santé possible pour le cheval. ou meme etre non partant

Une manière de protéger nos chevaux serait d'instaurer une limite du nombre de courses sans fers. Que ce soit par mois, trimestre, semestre, année, on a le choix ! Un système apparenté aux bons de priorité, par exemple, avec un bon possible par trimestre et par cheval, serait tout à fait réalisable.

D'un certain point de vue, le déferrage peut être considéré comme du dopage (oui, je pèse mes mots), au même titre que les oeillères, attache-langue et autres artifices, car il aide certains chevaux à faire une survaleur... Ou leur valeur (après tout, on ne sait pas trop).