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     ≡  JMB protégé ?


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§-62 # 2 ≡ Re: JMB protégé ?
Course B
Course B
-62
60 posts depuis
le 3/11/2005
LALO tu fais de la diffamation!!!
mais bon moi je ne comprend pas le systeme de defense de bazire

enfin , tout le monde des courses a peur de BAZIRE car si il parle et qu il commence à expliquer comment ca marche une course , bcp de monde va tomber ; c est toute la filliere hyppique qui joue sa credibilité

pour exemple , la plus grande supercherie de ces 10 dernieres années c est cette histoire de chevaux ferres ou deferres dont on nous fais chier tous les jours
pdt qu on occupe les turfistes avec une information aussi peu capitale , ca empeche les turfistes de demander des informations reellement essentielles!!!!

pour rappel , qd GENERAL DU POMMEAU à 3ans malgres ses 50 metres d avance ds le prix de l ETOILE a été battu par ELVIS DE ROSSIGNOL fallait bien trouver une fausse bonne excuse à servir aux pigeons turfiste et les fers tombaient bien !!!! mdr

le PMU nous prend vraiment pour des cons
14.12.05 - 20:30 Profil

§LALO # 1 ≡ JMB protégé ?
Groupe I
Groupe I
LALO
1591 posts depuis
le 4/8/2004
De : R.P
Beaucoup de turfistes pensent que nos cracks drivers (Levesque, Dubois, Bazire) seraient protégés sur la piste, bénéficiant de certains égards de la part des commissaires. Seraient-ils également protégés en dehors des pistes ?

Toujours prompt à enfoncer les portes ouvertes, mais peu pressé de relater les exploits de nos Sea Biscuit contemporains, Libération qui s'est délecté de l'affaire Porzier s'attaque à présent au cas Bazire (nb pour la deuxième fois et sur le même sujet à quelques mois d'intervalle).

Pendant ce temps, à Paris Turf, on roupille à poing fermé, on oublie d'investiguer, on a peur de la rancune des professionnels, on signe des éditoriaux d'un courage
extrême et on laisse la presse généraliste s'occuper de la vérité.


Voici l'article :

Le milieu du trot fait un ménage sans queue ni tête

Durant une procédure pour blanchiment, les sanctions disciplinaires épargnent le jockey-star Bazire.

par Renaud LECADRE
QUOTIDIEN : mercredi 14 décembre 2005


Après le dopage dans le galop, le blanchiment dans le trot. Cette fois, l'enquête pénale n'est pas menacée par un bug procédural mais malmenée sur le plan disciplinaire, la Société d'encouragement à l'élevage du cheval français (SECF), organisatrice des courses de trot, faisant preuve d'une sévérité à géométrie très variable.
Sur le même sujet

* Le dopage au PMU, c'est pas du sport

Depuis janvier 2005, une trentaine de personnes sont mises en examen par un juge d'instruction parisien. L'affaire débute par un grand classique de l'arnaque : monnayer l'insertion d'encarts publicitaires dans des revues parapolicières ou parajudiciaires contre la promesse d'arranger en coulisse les affaires de l'annonceur. Son originalité tient au fait que les pigeons ne sont pas des patrons de PME, mais de hauts dirigeants de grandes entreprises : Framatome, Renault, Thales... L'argent récolté (10 millions d'euros, un record) a été en partie réinvesti dans des écuries de chevaux de course, d'où cette tentaculaire procédure judiciaire pour blanchiment (Libération du 19 mars).

Kesako Phedo. Alain Szwarc fait partie des accusés, au motif que son fiston flirtait avec un collecteur de fonds. Szwarc n'est pas n'importe qui : l'un de ses chevaux, Kesaco Phedo, a remporté en 2004 le Grand Prix d'Amérique, autoproclamé plus grande course de trot au monde. L'animal était drivé par Jean-Michel Bazire, surnommé «le Zidane des courses», plus de 2 300 victoires au compteur. Bazire est également mis en examen, pour une peccadille : plutôt que d'obtenir comme de coutume une rémunération en nature, via des parts de copropriété d'un cheval, il avait reçu 60 000 euros en liquide des mains du fils Szwarc. La justice pénale n'a pas assorti leur contrôle judiciaire d'une interdiction des champs de course.

Mais la SECF, statuant disciplinairement, a voulu se montrer plus royaliste que le roi. Szwarc père a été aussitôt privé de casaque, ses chevaux interdits d'hippodrome. Etranglé, il en est réduit à vendre ses canassons.

Droit coutumier. Bazire-Zidane, lui, peut continuer à parader. Mieux, la SECF s'est fendue d'une motion de soutien au driver vedette, tout en enfonçant la tête du propriétaire : sa suspension conservatoire a été muée, en septembre, en retrait pur et simple. Vendredi dernier, Alain Szwarc plaidait sa cause en appel, devant le comité supérieur de la SECF réuni à Vincennes. Une assemblée d'une cinquantaine de tempes grises. On n'en saura pas plus, Libération étant invité à déguerpir au plus vite : «Nous sommes surpris de cette manière peu courtoise, il est exclu que la presse soit présente.» Son avocate, Me Florence Gaudillière, en avait pourtant de bien bonnes à raconter, comme cette menace téléphonique d'un dirigeant de la SECF à son client s'il persistait à regimber (Szwarc étant sous écoute dans le volet pénal, la conversation est au dossier). L'avocate s'est faite philosophe : «Le siècle des Lumières ne leur a pas encore traversé l'esprit. Ils raisonnent toujours en droit coutumier.» La SECF lui a promis un jugement par retour du courrier.
14.12.05 - 20:18 Profil Visiter le site
 

   

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