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| Anonyme |
 # 25 ≡ Re: les influences |
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Besoin en acide folique chez le cheval: mg/kg et g/jour
Chevaux de haute performance en plein entraînement 10 100
Chevaux de haute performance subissant un travail léger 10 50
Poneys, chevaux de selle 5 15
Poulinières et étalons 5 20
Jeunes chevaux 1-2 ans 5 15
Foals et yearlings de moins d'un an 10 10-30
Une croissance lente accompagnée de performances sportives médiocres peut résulter d’un apport insuffisant en vitamines. Si le manque de performances s’assortit d’un état anémique, en dépit d’un apport en fer correct, il y aurait lieu d’augmenter la dose en acide folique et/ou celle de la vitamine B12. La chute des cheveux, surtout accompagnée de diarrhées, indique une carence en acide folique. Les chevaux, à l’occasion d’un programme de travail intense, bénéficieront d’un apport supplémentaire en vitamine surtout si leurs performances sportives et d’endurance venaient à faiblir
A lire pour tout avoir:
http://www.twydil.com/fr-twyd/tools2/3.vit/fr4vit12.htm
Et petit site sur les vitamines:
http://www.twydil.com/fr-twyd/tools2/3.vit/fr4vita6.htm
bon, encore une fois, c'est juste une ébauche de renseignement, un labo derrière mais c'est toujours bon de le lire quand même |
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| 10.01.12 - 21:26 |
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| Anonyme |
# 22 ≡ Re: les influences |
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oh oui platon, déja chez l'humain il se chamaille à coup d'études qui prouvent ça puis d'autres qui contredisent... Exemple du lait. Et puis le lobbing pharmaceutique....on y touche pas et donc on est influencé inconsciemment et les études sont biaisée par la communication des grands labo.
Alors d'ici à en arriver au cheval en étant crédible........ y'a le temps.
Et pourtant....... |
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| 10.01.12 - 21:08 |
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 Platon |
# 21 ≡ Re: les influences |
Groupe I
1581 posts depuis
le 20/2/2007
De : La Vienne (86)
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Il parait évident que le "dopage" le plus efficace et le moins risqué (en terme judiciaire) est celui pratiqué sur la jument et le poulain en phase anté-natal.
Il faut introduire l'idée de l'eugénisme chez les éleveurs. Eugénisme étant la science du mieux naitre, non pas à la façon d'un fou d'outre Rhin des années 40, (par élimination) mais avec beaucoup plus de soins sur la jument et son poulain.
Le handicap est que la biologie du cheval est mal connue. A notre époque, on se penche sur ce que les instruments techniques nous permettent de voir et savoir (l'infiniment petit) et nous ignorons beaucoup sur la physiologie, les rythmes végétatifs, l'influence du tube digestif, de la flore sur le psychisme, etc , ....
Qui veut avoir un peu d'avance devra se pencher sur ces questions, le sujet est immense et nécessite plus d'observations et de bon sens que de moyens.
L'énergie alimentaire ne sort pas du sac mais du métabolisme digestif.
Avis aux amateurs.
Platon : Blog: Les petits éleveurs de PS
Site collection équestre : www.psreditions.com
"Le bruit ne fait pas de bien ; le bien, pas de bruit." |
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| 10.01.12 - 21:03 |
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| Anonyme |
# 20 ≡ Re: les influences |
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on nous donne bien à nous de l'acide follique avant la grossesse, celle ci permet de diminuer les malformations du tube neural et donc de malformation du foetus. Avant si vous aviez un enfant avec un problème de spina bifida, vous vous disiez; c'est surement la malchance. Alors que maintenant on sait comment diminuer ce risque et on le previent AVANT la grossesse.
Du coup le facteur chance ou malchance diminue au profit d'un facteur plus maitrisable. |
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| 10.01.12 - 20:48 |
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| Anonyme |
# 19 ≡ Re: les influences |
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mais je pense aussi qu'on remet à la chance souvent se qu'on ne connait pas (le manque de connaissance)....
Donc je met un gros pourcentage "chance" car je pense que j'ai des lacunes dans le domaine.
Ce que je veux dire c'est que, lorsque par exemple l on ne connaissait pas l'importance de la nutrition avant que la poulinière soit pleine, on se disait " je l'ai bien nourri (la poulinière) pendant la gestation, si le poulain n'est pas droit cela doit être la malchance". Ce n'est souvent qu'un manque de savoir (savoir qu'il était important de travailler sur la poulinière avant même la saillie.
Donc en réalité je devrais dire qu'il y a 25 % qui s'explique surement, mais que moi je ne connais pas et donc j' attribue ça à la chance.
Je sais pas si je suis très claire  |
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| 10.01.12 - 20:37 |
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| Anonyme |
# 17 ≡ Re: les influences |
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oh....je n'y crois pas non plus, mais je me suis juste basé sur le 30% de génétique cité.
Je crois en l'environnement, en la nutrition AVANT (on l'oublie trop souvent), pendant et après de la poulinière. Ce qui va permettre de bons tissus (si il n'y a aps de faiblesse génétique trop importante).
Je crois en l'importance de la sociabilisation du poulain. Travailler le moral en le mettant au contact de différentes situation pour qu'il ai confiance en lui. (le film seabiscuit m'avait marqué: lorsqu'on lui apprenait à perdre pour donner confiance à l'autre cheval).
Je crois en l'importance de ne surtout pas en faire un mouton, il faut qu'il garde la "gnac" et qu'il ne soit pas trop soumi à l'homme.
Mais je reste, pour ma part, persuader que il y'a un bon pourcent que l'homme ne maitrise pas. |
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| 10.01.12 - 20:32 |
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les influences
Juste du à mon manque de connaissance 
