Vente en parts : le débat

Personnellement, je me dis heureusement que j'ai des associés pour partager mes émotions avant, pendant et après les courses. Ma femme est contre cet investissement , mes enfants ont d' autres préoccupations et mes amis m' ont pris pour un huluberlu quand j'ai acquis ma première part . Ce qui revient à dire que si j'étais propriétaire unique d' un crack, je serais heureux mais tout seul comme un con, personne avec qui partager mon bonheur (mais le pognon là oui). Dans le cas contraire, je n'aurais personne avec qui partager ma détresse. Donc vive les parts !