Intéressant aussi de relever, dans l'Eperon d'argent, qu'il y avait apparemment autant de lads que de chevaux. De fait, la main d'oeuvre ne coûtait pas cher!
Un dortoir où on gelait en hiver et où on étouffait en été, nourriture suffisante mais de médiocre qualité, travail 7 jours sur 7 et du soir au matin... Evidemment, mieux valait cela que la mine, mais tout de même! Et l'entraîneur, brave homme, mais qui trouvait cette situation normale, puisque lui-même était passé par là... En contrepartie, je suppose que cela forgeait le caractère.
Moi aussi je les ais lu, dans le désordre (mais ça n'a pas vraiment d'importance) et c'est vrai que l'on y trouve une description historique du monde des courses, vu de l'intérieur, absolument fascinante. Les personnages sont très attachant, d'une manière générale l'atmosphère est vraiment très bien rendue.
paul vialard est vraiment un tres bon ecrivain ces deux livres on berce mon enfance et c'est eux qui mon motivé a devenir eleveur ,ce gamin qui en normandie monté san probleme un cheval dit dangereux....c'etait vraiment excellent comme lecture.
oui, vraiment passionnants ces 2 livres! Les descriptions sont tellement précises qu'on s'y croirait. C'est vrai qu'à la lecture, la vie dans le milieu des chevaux de courses à cette époque ne devait vraiment pas être rose, mais malgré tout, je ne peux m'empêcher de regretter de ne pas avoir connu ça.
Ah oui, une autre passionnante histoire dans le milieu des Pur-sangs, mais plus actuelle, c'est LADY LOVE de Homéric. Mais l'écriture n'est pas du tout la même.
[ Edité par miss_flow 04.07.2008 - 21:18 ]
"Que faire sinon mourir ou s'enivrer lorsqu'arrive le moment où la réalité n'est plus à la hauteur du rêve ?" (E.Delacroix)
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L'eperon d'argent - La cravache d'or (Paul Vialar)
