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     ≡  A lire absolument pour les détracteurs de Soumi


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Anonyme # 12 ≡ Re: Mea Culpa de soumillon?



comme tu dis les bon chevaux....
faut pas oublier qui est ce qui court...

par contre ioritz lui monte bien tous les chevaux...meme a l'arrivée avec les tocards, la je dis RESPECT
11.05.05 - 16:39

§napoleon # 11 ≡ Re: Mea Culpa de soumillon?
Course C
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napoleon
17 posts depuis
le 8/5/2005
IL faut dire qu'il monte tres bien les bons chevaux :roll:
11.05.05 - 15:06 Profil

Anonyme # 10 ≡ Mea Culpa de soumillon?



j'y crois pas trop, chaque année soumillon nous fait le meme coup

il merde et apres il fait son grand retour
Mea Culpa...
02.05.05 - 12:59

Anonyme # 9 ≡ Re: A lire absolument pour les détracteurs de Soumi



C'est vrai, c'est sympa de ne pas entendre la langue de bois, mais si c'est pour dire 1 an à l'avance qu'il n'a pas d'adversaire et qu'il va remporter une nouvelle cravache d'or, là, il vaut mieux se taire....
Ces propos avaient été tenus par lui pour l'année 2004, sauf que Ioritz MENDIZABAL, lui a mis une bonne vingtaine de succés dans les dents.
Je crois que cela lui servira de leçons et qu'à l'avenir, il se montrera moins impétueux. Il a beaucoup de talent, mais visiblement dans les rapports humains, il ne sait pas trop comment faire. Et puis c'est bien connu, lorsque vous êtes en tête d'affiche, vous êtes plus exposé que les autres, et il faut rester maître de la situation quoiqu'il arrive et ne pas se laisser dépasser par son imulsivité.....
01.05.05 - 01:59

§LALO # 8 ≡ Re: A lire absolument pour les détracteurs de Soumi
Groupe I
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LALO
1591 posts depuis
le 4/8/2004
De : R.P
Il faut croire que notre impétueux jockey adopte un profil bas pour commencer la saison.
On peut s'attendre à ce qu'il pratique dorénavant la langue de bois lors des prochaines interviews.
A moins que son naturel clairon reprenne le dessus...

Plus de micro sur Bazire. Soumillon mezza voce. Heureusement, il reste Jean-Paul Gallorini pour parler fort.
19.03.05 - 09:11 Profil Visiter le site

§fletcherdebreon # 7 ≡ Re: A lire absolument pour les détracteurs de Soumi
Groupe I
Groupe I
fletcherdebreon
4294 posts depuis
le 2/2/2004
L'article de paris-turf:

Il nous avait donné rendez-vous avant les courses à Maisons-Laffitte, devant le restaurant du coin. Bloqué sur la route, Christophe Soumillon commence par s'excuser pour son (léger) retard. Il doit aussi commander à manger pour ses amis, qui ne parlent pas le français. Traduction de la carte par la Cravache d'Or 2003, et c'est parti pour un pot-au-feu et une bouteille de mouton-cadet. Mais pour lui, au menu, ce sont les souvenirs de son séjour à Hong Kong. Parti fin novembre à l'île Maurice, il est arrivé sur place le 5 décembre, pour trois mois. Carnet de voyage, mea culpa et bonnes résolutions.


--------------------------------------------------------------------------------

- Parlez-nous de la vie de jockey à Hong Kong.
- Le matin, on commence très tôt, vers 4 h 30 - 5 heures. On peut travailler jusqu'à quinze chevaux, un quart d'heure chacun : c'est un peu du travail à la chaîne. Cela surprend quand on arrive, mais on s'y fait vite. On leur fait effectuer un canter, puis un galop, avant de les ramener à leurs lads qui les font marcher en main.

L'entraînement est très américanisé, on travaille sur 400 ou 800 mètres, vite, chronomètre en main. La corde est toujours à droite. Les chevaux sont logés sur l'hippodrome de Sha-Tin, qui dispose de 1.200 boxes. Chaque entraîneur a le maximum de chevaux autorisés par le Hong Kong Jockey Club, c'est-à-dire soixante. C'est peu, ils doivent donc sélectionner la qualité avant tout.

- Et l'après-midi, aux courses ?
- En semaine, on court en nocturne. Le week-end, c'est l'après-midi. On arrive sur le champ de courses vers onze heures si l'on a du poids à perdre. Il faut être à la pesée une heure avant le début des courses. Ils sont très pointilleux là-dessus. Pour un quart d'heure de retard (l'heure de la pesée avait été avancée en raison d'un défilé), j'ai pris une amende de 2.000 HK$ ! Une anecdote : là-bas, l'usage des téléphones portables est interdit, aussi bien pour les jockeys que pour le public. Une façon de se protéger des trafics de jeu... Mais ça permet de rester très concentré sur son objectif. On monte huit à dix courses par réunion. Le niveau des jockeys est très élevé, c'est le top ! Toutes les épreuves se courent sous la forme de handicaps, ce qui donne encore plus d'importance au pilote.

- A ce sujet, quelles sont les règles dans le peloton ?
- Elles sont très strictes. Pas sur la manière d'utiliser la cravache... Les enjeux sont tels que l'on ne reprochera pas à un jockey d'avoir défendu ses chances au maximum. En revanche, on n'a pas le droit à l'erreur dans le déroulement de la course : interdiction de se rabattre si l'on n'a pas deux longueurs d'avance, de «garder au chaud» un adversaire, de s'appuyer sur un autre cheval (il faut au minimum vingt centimètres entre deux concurrents)... Cela donne des courses «éclairs», limpides. Mais, il faut lutter contre ses réflexes de jockey, comme plonger dès qu'on a l'ouverture. Les commissaires passent à la loupe toutes les courses, et il faut souvent expliquer son parcours. Les intérêts du parieur sont bien protégés !

- Si les jockeys sont au top, comment évolue la qualité des chevaux ?
- Depuis deux ou trois ans, elle est en constante progression. On voit que les chevaux entraînés sur place commencent à gagner des courses internationales.

- Silent Witness, la star locale, aurait-elle sa place dans un Prix de l'Abbaye de Longchamp ?
- Et comment ! C'est le sprinter le plus impressionnant que je connaisse. Sur 1.000 mètres, il est imbattable, à Hong Kong comme ailleurs ! Bullish Luck (Royal Academy), avec qui j'ai gagné un groupe 1, est également très véloce. Il couvre les cinq cents derniers mètres en 21 secondes. Croyez-moi, il serait loin d'être ridicule dans un Prix Jacques Le Marois !

- Quelle est l'ambiance sur les hippodromes ?
- Une ambiance extraordinaire... Un monde fou... Sur l'anneau d'Happy Valley (situé au centre de la ville), c'est vraiment à part. Le brouhaha, la luminosité, le tracé et la situation en font vraiment un champ de courses particulier. J'aime beaucoup. C'est un peu comme en province, il faut aller devant si l'on veut gagner.

A Sha-Tin, c'est beaucoup plus «européen». La ligne droite est longue (450 mètres), la piste toujours excellente, de très grandes tribunes. C'est comparable à Saint-Cloud. On peut attendre, monter comme un grand jockey.

- Quel est le statut des jockeys ?
- On peut être employé par le Hong Kong Jockey Club. Ils vous contactent en septembre, pour venir monter en fin d'année. On monte alors pour tous les entraîneurs. C'est ce que j'ai fait la première fois que je suis venu, pour me faire connaître. Cette année, j'y suis retourné avec un contrat pour John Moore, ce qui explique pourquoi j'ai eu un peu moins de montes que les autres.

- Quelles sont vos obligations professionnelles ?
- Quand il n'y a pas de courses, on a beaucoup de «lunchs» avec les propriétaires, ou de dîners. C'est beaucoup plus «business» qu'ici. On rencontre de nouvelles personnes, on prospecte pour de nouvelles montes... On a aussi régulièrement des rencontres avec la presse, pendant une heure ou deux, le matin. On joue le jeu en y assistant, ce n'est pas obligatoire, mais ça fait partie de nos devoirs, pour être respectés.

- Et sur le plan personnel ?
- Tout est contrôlé. On peut habiter où l'on veut, mais quand on vient comme moi pour trois mois seulement, c'est beaucoup plus simple d'occuper un appartement dans la résidence des jockeys, sur l'hippodrome. On peut sortir, voir du monde, mais tout est consigné sur un registre. Rien n'échappe au Jockey Club. C'est encore une façon de se protéger contre des affaires de jeux...

- Ce cadre n'est-il pas un peu pesant pour un jockey européen ?
- Pour moi, c'est le sacrifice nécessaire à faire pour réussir. Je n'y ai passé que trois mois, c'était donc très supportable. Pour les jockeys permanents, c'est plus dur, bien entendu. On peut penser qu'il y a un peu de paranoïa dans toutes ces mesures, avoir l'impression d'être pris dans un engrenage malsain. Mais il faut passer par là... Les jockeys sont considérés comme de vraies stars. Ils sont adulés par les parieurs, à condition qu'ils se donnent à fond, sans magouille. Il faut être le meilleur.

- Autre particularité locale, l'obligation de résultats pour les entraîneurs...
- Oui, en effet. Les deux entraîneurs ayant eu les moins bons résultats n'ont pas leur licence renouvelée pour la saison suivante. C'est un peu comme au football, ils sont relégués en ligue 2, sauf qu'il n'y a pas de ligue 2 !

- Quel est le bilan de ces trois mois ?
- J'ai gagné seize courses, dont deux groupes I, et trois Cups, de bonnes courses ici. Et puis j'ai aidé John Moore à battre le record de courses gagnées à Hong Kong. Il a passé le cap des 845 victoires, et je suis très fier d'y avoir participé.

- Vos deux groupes I ont été remportés dans des circonstances un peu particulières...
- C'était pour le compte de Tony Cruz. Il m'avait réservé depuis longue date pour ces deux courses, ce qui m'a permis de m'arranger avec John Moore. La première fois, le 16 janvier, je montais Bullish Luck, qui ne détenait qu'une seconde chance par rapport à son compagnon d'écurie Perfect Partner. Mais ce dernier s'est renversé dans les stalles de départ et a été déclaré non partant. Plus tard, le 20 février, le jockey maison, Felix Coetzee, s'était mis en selle sur Bullish Luck, et je montais Perfect Partner. J'ai mené au galop de chasse, ce qui a beaucoup contrarié Bullish Luck qui a besoin d'une course sélective...

- Que vous a apporté cette expérience à l'autre bout du monde ?
- Physiquement, cela m'a permis d'arriver au top pour le début de la saison ici. Je suis déjà «fit». Je pense aussi avoir fait des progrès, le niveau là-bas vous oblige à vous surpasser.

Mais surtout, j'ai mûri. Ces trois mois, mais aussi les bêtises que j'ai pu faire l'an dernier m'ont fait grandir. J'ai changé. Les gens vont s'en rendre compte.

A partir de la fin juin, l'an passé, j'ai complètement «merdé». J'ai voulu trop en faire. Je dois des excuses à des gens que j'ai blessés. J'ai tenu des propos qui ont été mal interprétés. Je le regrette.

Quand on atteint la gloire très jeune, on peut perdre les pédales. C'est ce qui m'est arrivé. La vie est faite de victoires et de défaites. Les défaites d'hier m'ont fait évoluer. Je suis passé de l'image du jeune fougueux, sympathique avec tous, que j'avais en 2003 à celle de «tête de con». Aujourd'hui, je pars sur de nouvelles bases.

Je me suis rendu compte de beaucoup de choses. Que l'on ne peut pas passer au-dessus des gens qui vous font confiance. Que j'ai beaucoup de chance d'être là où je suis. J'ai le privilège de travailler pour deux grandes figures du turf, André Fabre et S.A. l'Aga Khan. J'ai aussi l'appui de nombreux autres professionnels.

- Quels sont vos objectifs pour cette saison ?
- Gagner des grandes courses : les Poules, le «Jockey-Club», l'«Arc», le «Jacques Le Marois»... Mais aussi gagner un groupe I en Grande-Bretagne, trouver un champion pour aller remporter une Breeders' Cup, ou la Japan Cup.

Si j'ai toujours la forme, je retournerai sans doute à Hong Kong. Pas forcément pour John Moore, ça dépendra de son écurie... J'aurais pu monter Bullish Luck dans la Queen Elizabeth Cup le 24 avril là-bas, mais je serai sur Valixir au départ du Prix Ganay au même moment.

- Donc continuer à voyager... Et la Cravache d'Or ?
- Je vais essayer de me battre pour l'avoir. Mais c'est avant tout une question de chevaux. L'écurie de Jean-Claude Rouget a eu de très bons éléments l'an passé, et Ioritz a fini en tête (cette interview a été réalisée avant que l'annonce de l'achat de l'écurie Lagardère par S.A. l'Aga Khan n'ait été officialisée). Il faut respecter le travail des entraîneurs, et les chevaux : ce sont eux qui nous font gagner les courses, et non l'inverse ! Alors, oui pour la course à la Cravache d'Or, mais sans pousser le bouchon trop loin. On ne gagne pas des listeds avec des chevaux de valeur maiden...
18.03.05 - 22:03 Profil

§tos365 # 6 ≡ Re: A lire absolument pour les détracteurs de Soumi
Course B
Course B
tos365
65 posts depuis
le 1/11/2004
De : pas loing chantilly
y a ecrit koi d'otre ds cet article?jmré bien savoir.a+
18.03.05 - 21:45 Profil Visiter le site

§WeekendStar # 5 ≡ Re: A lire absolument pour les détracteurs de Soumi
Listed-Race
Listed-Race
WeekendStar
298 posts depuis
le 15/1/2005
Ouais... Je vois pas la difference entre ce que j'ai dit et ce que tu as dit mais c pas grave !
18.03.05 - 20:35 Profil

Anonyme # 4 ≡ Re: A lire absolument pour les détracteurs de Soumi



Désolé week-end star mais t'as mal lu , il a dit qu'avant fin juin il avait l'image d'un jeune fougueux et ensuite celle d'un con . Par contre il s'est excusé pour toutes les choses qu'il a dit de désagreable
18.03.05 - 18:08

§Fan2anthonycarre # 3 ≡ Re: A lire absolument pour les détracteurs de Soumi
Groupe I
Groupe I
Fan2anthonycarre
937 posts depuis
le 24/6/2004
De : Idron (64)
il a dit koi d'autre


18.03.05 - 16:50 Profil Visiter le site
 

   

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