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| Anonyme |
 # 3 ≡ UN GRAND JOCKEY |
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Emma13,
Citation :Je suis d'accord sur la première partie en grande partie, mais là où ça me va moins c'est la seconde avec les noms cités
Idem. |
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| 09.06.11 - 00:41 |
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| Anonyme |
# 5 ≡ UN GRAND JOCKEY |
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En parlant des cracks jockeys, je me souviens d'Etienne Pollet qui n'ayant plus de jockey attitré s'est mis a en essayer quelques uns. Après en avoir essayé plusieurs , il essaye Henri Mathelin : 6 montes 6 victoires à la 18 eme monte, il y avait 11 victoires au compteur. Tout le monde disait il a enfin trouvé son jockey et pourtant Mathelin a été remercié après sa 18eme monte.
Ceci pour dire que le résultat intrinsèque ne doit pas être trop pris en considération, il y a trop de facteurs même extra professionnels qui peuvent faire ou défaire un jockey |
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| 09.06.11 - 09:22 |
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 Valerya |
# 7 ≡ UN GRAND JOCKEY |
Groupe I
2757 posts depuis
le 5/7/2008
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Je ne suis pas tout à faire d'accord avec ton analyse, Lancearmstrong parce qu'il ne faut pas particulièrement de finesse pour gagner un Tiercé, un cheval préparé par une écurie qui joue à cache cache avec le handicapeur est de loin préférable, ce qui permet de gagner en commettant des erreurs car le cheval est en dessous de sa valeur intrinsèque.
Beaucoup de grands jockeys, pas plus que leurs écuries ne commettent ce genre de triche ce qui les rend moins performants.
Nombres d'écuries classiques évitent même ce genre de jeu de dupe en ne participant qu'occasionnellement .
Ceux qui montent des bolides sont ceux qui ont prouvé qu'ils étaient capables de les piloter en faisant leurs preuves sur plusieurs saisons dans des courses inférieures.
En plus d'être performants, les entraineurs classiques leur demandent de respecter les chevaux, les échéances et de se remémorer qu'une préparatoire n'est pas un objectif.
Les comportements de père fouettard et de pilote de stock-car ne sont pas particulièrement prisés non plus.
Avec l'expérience on se rend compte qu'il est plus dur de faire gagner un bon cheval avec un jockey moyen qui ne respectera pas ses paliers et va bruler inconsidérement son accélération par manque de sang froid, que d'obtenir une victoire avec un cheval limité monté par le même pilote dans une catégorie où beaucoup de jockeys sont de son niveau, voir inférieur.
La difficulté en France est qu'il y a beaucoup de jockeys de haut niveau, donc une concurrence exacerbée qui n'est pas prête de se réduire avec le niveau des jeunes sortis de la "pépinière" d'André Fabre qui reçoivent une formation de haut niveau et complète: talent, travail, intelligence, gentillesse, modestie et respect du cheval.
Tony Clout avec un effectif modeste a sorti également des étriers d'Or.
La récompense est à la hauteur de leur implication personnelle car André est loin d'être ingrat, seulement exigeant (heureusement moins avec les autres qu'avec lui-même  ).
"Visez la lune, même si vous échouez vous serez parmi les étoiles." Oscar Wilde |
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| 09.06.11 - 14:12 |
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| SeaBird |
 # 9 ≡ Re: UN GRAND JOCKEY |
Groupe II
505 posts depuis
le 16/9/2002
De : PARIS
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| Citation : Fucius: En parlant des cracks jockeys, je me souviens d'Etienne Pollet qui n'ayant plus de jockey attitré s'est mis a en essayer quelques uns. Après en avoir essayé plusieurs , il essaye Henri Mathelin : 6 montes 6 victoires à la 18 eme monte, il y avait 11 victoires au compteur. Tout le monde disait il a enfin trouvé son jockey et pourtant Mathelin a été remercié après sa 18eme monte.
Ceci pour dire que le résultat intrinsèque ne doit pas être trop pris en considération, il y a trop de facteurs même extra professionnels qui peuvent faire ou défaire un jockey
Etienne Pollet a fait monter (et viré) tous ce qui pouvait tenir à cheval ou à peu près. En plus d’Henri Mathelin évoqué précédemment, je cite de mémoire et j’en oublie sûrement ; Roger Poincelet, Maurice Larraun, Freddy Palmer, Patrick Glennon, Jean Deforge, Jackie Taillard, William Williamson, et même Yves Saint Martin (ROI DAGOBERT).
En 1963 l’énigmatique Etienne Pollet fait monter SANCTUS dans le Jockey-Club par Maurice Larraun et gagne. Ce tandem avait déjà gagné l’Arc avec LA SORELLINA 10 ans au paravent. En remerciement….Il est remplacé par Roger Poincelet dans le Grand Prix de Paris (3100 m à l’époque) où SANCTUS gagne à nouveau ! Suite à cette victoire, il décide, contre toutes attentes, de terminer l’année en installant l’australien Patrick Glennon sur ses pensionnaires ! Et si ce dernier n’a pas été remercié, c’est tout simplement parce qu’il a d’arrêté sa carrière à l’automne 1965 à l’issue de l’Arc de Triomphe de SEA BIRD.
Dès lors la valse continue ! Entre autre, Jean Deforge, auquel il faisait appel régulièrement, est débarqué pour ne pas avoir gagné le Grand Prix de Saint Cloud 1968 avec VAGUELY NOBLE et est remplacé illico par l’anglais William Williamson qui gagnera, avec lui, l’Arc de Triomphe. |
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| 10.06.11 - 16:36 |
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| Anonyme |
# 10 ≡ Re: UN GRAND JOCKEY |
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merci SeaBird pour tous ces souvenirs . A l'epoque des essais Mathelin, Taillard il y a eu également Desaint (3 montes).
Et si Larraun avait gagné avec Sea Bird le grand criterium à longchamps, n'aurait -il pas continué à le monter? Car Larraun lui même a dit que c'était lui qui l'avait perdu en voulant tellement respecter les ordres qu'il avait exagéré en venant trop à l'extérieur des autres chevaux. |
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| 10.06.11 - 17:49 |
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UN GRAND JOCKEY
