| Navigation |
|
|
 |
|
|
 tralala |
 # 45 ≡ Re: Porzier... |
Course A
141 posts depuis
le 15/6/2005
De : PARIS
 |
Citation :FDF a écrit : Citation :FDF a écrit : Citation :Lonray a écrit :
Il s'explique dans les colonnes de Paris Turf daté d'aujourd'hui.[/quote
Qu'est ce qu'il dit, je n'ai pas eu le temps d'ouvrir le journal ?
Y. PORZIER? suspendu encore jusqu'au 31 juin 2007, problème il n'y a que 30 jours en juin !!!!  Décidement on se fou de la gueule du monde!!! a ce rythme on aura jamais deb reponse!! si en 2012 LOL |
|
| 30.01.07 - 12:52 |
|
|
|
| FDF |
# 44 ≡ Re: Porzier... |
Course C
13 posts depuis
le 18/3/2006
|
Citation :FDF a écrit : Citation :Lonray a écrit :
Il s'explique dans les colonnes de Paris Turf daté d'aujourd'hui.[/quote
Qu'est ce qu'il dit, je n'ai pas eu le temps d'ouvrir le journal ?
Y. PORZIER? suspendu encore jusqu'au 31 juin 2007, problème il n'y a que 30 jours en juin !!!! |
|
| 29.01.07 - 20:00 |
|
|
|
| tralala |
# 40 ≡ Re: Porzier... |
Course A
141 posts depuis
le 15/6/2005
De : PARIS
|
| Citation : dana a écrit :
autre question à ce sujet : pourquoi l'instruction du dossier Porzier était elle si longue alors que France Galop était sure des faits ?
Et pourquoi l'affaire JPh Dubois est elle enterrée ?
Sport. Les enquêtes du Télégramme
Dopage. Le présumé coupable d’Auteuil
La bombe a explosé le 14 juin 2005, lorsqu’une « affaire de dopage dans le milieu des courses hippiques » a fait la une du 20 h. Au centre, un entraîneur d’origine bretonne, Yann-Marie Porzier. Dix-sept mois plus tard, non sans avoir passé trois semaines en prison, celui qui était alors un des entraîneurs « de pointe », l’un des plus médiatiques aussi, n’est toujours que « mis en examen » dans un dossier qui, à en croire l’intéressé, « se dégonfle ». France Galop, la société mère des courses de galop, l’a pourtant écarté des pistes... sans avoir apporté la preuve de sa culpabilité.
Yann-Marie Porzier, dont deux chevaux avaient été contrôlés positifs en 2003 et 2004 - il en conteste encore les résultats - paye-t-il sa réputation d’« entraîneur borderline » ? Ou bien, comme il le dit, a-t-il « catalysé un capital de haine » en raison de sa présence médiatique et de ses succès, « à un moment où France Galop avait besoin d’un bouc émissaire pour faire une opération mains propres ? »
Mutisme général
La justice le dira peut-être un jour. En attendant, l’intéressé est mis en examen, au même titre que quatre autres personnes, pour « infraction à la législation concernant la détention et l’usage de substances vénéneuses, escroquerie et tentative d’escroquerie au PMU ». Mais il n’a rencontré le juge qu’une seule fois, en juin 2005, deux jours après que son écurie a été perquisitionnée et ses chevaux prélevés. Les examens pratiqués alors n’ont officiellement rien démontré. Ce qui permet à Porzier d’affirmer : « Le dossier se dégonfle comme un ballon de baudruche ». La seule arme de Porzier est sa parole. Il en use d’autant plus qu’elle n’en rencontre pas d’autre. Comme la gendarmerie qui a mené l’enquête, le parquet d’Alençon observe un mutisme total sur cette affaire. France Galop, la société organisatrice des courses de galop en France, refuse également de s’exprimer « tant qu’une procédure judiciaire est en cours » sur la sanction (interdiction d’entraîner et de faire courir) prononcée sur la base d’un article du code des courses adopté le 10 juin 2005... quatre jours avant l’interpellation de Porzier et des co-inculpés.
Porte ouverte à l’arbitraire
Ce fameux article 216 donne à France Galop le pouvoir de sanctionner tous les faits ou personnes « susceptibles de nuire à la réputation des courses et aux intérêts des parieurs ». Une porte ouverte à l’arbitraire donc, dont France Galop n’use pourtant pas dans un autre cas concernant le jockey britannique Fallon Kieren, autorisé à courir en France alors qu’il est interdit en Angleterre et aux USA. Porzier, qui s’estime traqué depuis longtemps (« en 2003, sur 32 contrôles, 19 ont concerné mes chevaux. Je devrais jouer au loto »), s’est également vu refuser, au contraire de Jean-Paul Gallorini, un autre entraîneur célèbre sanctionné dix ans plus tôt, de transférer son écurie à un « prête-nom ». Affirmant aujourd’hui : « Mes chevaux parlent pour moi » (disséminés dans d’autres écuries, ils continuent de gagner aux mains d’autres entraîneurs), Yann Porzier, qui a dû licencier 14 salariés, a contre-attaqué en portant plainte pour « dénonciation calomnieuse et tromperie à la justice » contre France Galop.
Il y a 16 ans. « L’affaire des dopés de la Saint-Sylvestre »
L’affaire Porzier présente bien des similitudes avec une autre affaire qui avait fait grand bruit dans le milieu des courses (même s’il s’agissait de trot) en 1990. On s’en rappelle comme de « l’affaire des dopés de la Saint-Sylvestre ». Comme Yann Porzier l’année dernière, le principal suspect de l’époque, l’entraîneur-driver néerlandais Yann Kruithof, avait dû passer par la case prison. « Il a mis dix ans à remonter la pente », estime son avocat de l’époque, Raymond Malin. Au final, Kruithof avait été condamné à une petite amende (5.000 francs), non pas pour dopage, mais pour détention de médicaments ne possédant pas d’autorisation de mise sur le marché (AMM). Un moindre mal, donc ? Sauf que « cette condamnation, si petite soit-elle, lui interdisait de demander des dommages et intérêts pour le préjudice subi et, qu’en outre, il avait dû payer les frais judiciaires qui, en raison des expertises, s’élevaient à 145.000 francs ».
« Il y aura un Porzier 3 »
Les caméras d'Equidia et de Canal + se sont détournées de lui depuis sa retraite forcée. Le reflet de sa célébrité, Yann Porzier ne le voit plus désormais que dans les yeux de ceux qui le croisent dans tel ou tel bar-PMU, lorsqu'il monte à « Paname ». Pourtant, l'homme ne doute pas. « Il y aura un Porzier 3, c'est sûr. Il n'y a que le temps que je ne maîtrise pas ».
Le temps, c'est celui de la justice. Un jour, elle tranchera. En attendant, Porzier souffre. « Il est évident que le temps me fragilise. La seule chose qu'ils doivent espérer, c'est que je pète un plomb ou que je dépose le bilan ». Avec le soutien de sa famille, ce « mixte de Breton et d'Alsacien » né à Paris et portant beau ses 55 ans ne doute pas qu'il tiendra jusqu'à obtenir un jour « réhabilitation et indemnisation ».
« Consultant » en Belgique
Si Porzier évoque un épisode « 3 », c'est que l'entraîneur à succès des années 80 avait déjà disparu du monde des courses, de 1995 à 1999. Quatre ans de suspension après un dépôt de bilan. Revenu une première fois « aux affaires », il avait remonté une écurie performante. Jusqu'au coup d'arrêt de juin 2005. Depuis, il vit l'enfer : procédure judiciaire, prison, impossibilité d'exercer son métier en France... En septembre dernier, après 15 mois de suspension, il a tout de même récupéré son passeport, ce qui lui permet d'exercer comme « consultant » en Belgique deux jours par semaine. « Présumé coupable » pour France Galop, Porzier parle de « persécution ». Et de citer l'épisode du 26 octobre, jour de la parution de l'interview donnée à Paris Turf. « Je revenais de Belgique ce jour-là et en descendant du train, j'ai été arrêté par la douane volante. Et comme par hasard, le jockey qui m'accompagnait et me suivait à 50 mètres l'a été lui aussi. C'est vous dire la puissance qu'ils ont ».
« Sainz, un ami de la famille »
Malgré cela, Yann Porzier continue d'assumer ce qu'il est, jusqu'à provoquer. Ses relations avec Jacky Augé, un soigneur précédemment condamné qu'il employait depuis quelque temps ? « Il avait payé sa faute. Je respecte la présomption d'innocence ». Celles qui l'unissent à Bernard Sainz, le fameux « docteur Mabuse » dont le nom revient régulièrement dans les affaires de dopage dans les pelotons cyclistes ? « C'est un ami de la famille depuis 30 ans. C'est un homéopathe génial qui a soigné beaucoup d'enfants dans la famille. Mais je n'ai jamais travaillé avec lui ». Persuadé sans doute que la meilleure défense est l'attaque, le Breton d'origine a porté plainte contre les principaux dirigeants de France Galop. Plein d'espoirs. « Il y aura une deuxième mi-temps si on tombe sur des juges qui savent lire ». Grâce à eux, il espère même « faire exploser des pans d'un système féodal ».
« Le code des courses va sauter »
« Le code des courses va sauter », dit-il en référence notamment à cet article 216, « qu'il faudrait appeler article Porzier », qui donnerait « droit de vie et de mort aux commissaires sur tous les détenteurs de licence ». « Mes collègues m'en sauront gré », imagine Porzier, en reconnaissant être « très peu soutenu » par eux aujourd'hui. Les juges pour alliés. Et aussi dans le collimateur. Car il ne décolère pas d'être « soupçonné d'un délit pas prévu par la loi ». |
|
| 23.11.06 - 22:27 |
|
|
|
PermissionsVous ne pouvez pas créer un sujet.
Vous ne pouvez pas éditer les sujets.
Vous ne pouvez pas ajouter des sondages.
Vous ne pouvez pas attacher des fichiers.
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets.
Vous ne pouvez pas supprimer.
Vous ne pouvez pas voter.
|
|
Rendez-vous sur C-F.fr
|
courses-france.com reste en ligne en tant qu'archive mais n'est plus en service.
Rejoignez la communauté sur C-F.fr
Les anciens membres de courses-france.com doivent aussi créer un nouveau compte pour pouvoir se connecter sur C-F.fr |
|
|
| |
Porzier...
