POULE D'ESSAI DES POULAINS 2007 (gr. I, Longchamp) 13.05

SeaBird a écrit :
Fracture sociale… ?

Je ne livrerais pas un secret en rappelant ici que le monde des courses se divise socialement en deux groupes :

1/ Celui du galop fréquenté par une catégorie sociale issue d’un monde huppé, bourgeois et parfois aristocratique.

2/ Celui du trot où participe des professionnels aux mœurs moins complexes, au sein d’une activité plus populaire.

Il n’est pas moins notable (voire socialement paradoxale) que la première activité organise la distribution de la manne du PMU par l’entremise d’un programme peu incitatif dont tout le monde semble se satisfaire, alors que la seconde est bigrement plus efficace avec un programme de courses où les concurrents se présentent dans des épreuves correspondant à une fourchette de gains avec comme conséquence l’obligation faite aux meilleurs de devoir s’affronter pour gagner son avoine.

En tous cas les résultats sont là ! Alors que nos galopeurs subissent trop souvent la loi des visiteurs venus d’outre Manche ou maintenant d’Allemagne, les trotteurs estampillés du label national font plus que supporter la comparaison avec leurs homologues européens et pas seulement…(cf l’AMIRAL MAUZUN).

Quant aux « Raffarinades » sur l’origine des fonds du PMU, l’absence de grandes firmes françaises, pourfendeurs de notre société "trop égalitaire", dans le sponsoring des courses et la situation du misérable Noël Forgeard (sûrement le demandeur d’emploi le plus célèbre de l’hexagone) il s’agit là de pure syncrétisme.
Mais son auteur a beaucoup d’excuses, c’est un mode de pensée très répandue à notre époque même au plus haut niveau de l’état !

COQUELINE a écrit :
peslier a encore fait ce qu'il a voulu d'apres jcrouget il fait ce qu'il veut quand il veut quand cela marche c'est bien MAUSSIEUX PESLIER qu'est ce qu'elle disait criquette ??????

SeaBird a écrit :
La Saint Patrick à Longchamp.

Il y a quelques mois, monsieur Louis Romanet faisait son original en lançant (ce devait être après le dessert et les liqueurs) l’idée d’organiser le prix de l’Arc de Triomphe à Ascot pendant la réfection de Longchamp.

Alors pourquoi pas suivant la date où se déroule nos Poules d’essais, remplacer nos antiques Saints de Glace des 11, 12 et 13 mai (Saint Mamert, Saint Pancrace et Saints Servais) par l’unique Saint Patrick patron des irlandais ?
Proposition totalement justifiée tant leurs quadrupèdes semblent parfaitement s’acclimater à l’herbe verte du bois de Boulogne.

Je ne reviendrais pas sur la performance de nos représentants tant celle-ci prête à sourire mais force est de constater, une fois de plus, qu’à l’instar des intervenants sur ce site et pour corroborer les propos de JC Rouget dans le « Paris Turf » du samedi 12 mai : Notre système de courses n’est pas efficace.

Celui-ci est un peu à l’image de la société française ; Trop égalitariste avec une échelle d’allocations et de primes n’incitant pas les compétiteurs à devoir s’affronter et donc à dégager une élite.

Un comble pour des courses de chevaux dont l’objectif premier est la sélection !

SeaBird a écrit :
La Saint Patrick à Longchamp.

Il y a quelques mois, monsieur Louis Romanet faisait son original en lançant (ce devait être après le dessert et les liqueurs) l’idée d’organiser le prix de l’Arc de Triomphe à Ascot pendant la réfection de Longchamp.

Alors pourquoi pas suivant la date où se déroule nos Poules d’essais, remplacer nos antiques Saints de Glace des 11, 12 et 13 mai (Saint Mamert, Saint Pancrace et Saints Servais) par l’unique Saint Patrick patron des irlandais ?
Proposition totalement justifiée tant leurs quadrupèdes semblent parfaitement s’acclimater à l’herbe verte du bois de Boulogne.

Je ne reviendrais pas sur la performance de nos représentants tant celle-ci prête à sourire mais force est de constater, une fois de plus, qu’à l’instar des intervenants sur ce site et pour corroborer les propos de JC Rouget dans le « Paris Turf » du samedi 12 mai : Notre système de courses n’est pas efficace.

Celui-ci est un peu à l’image de la société française ; Trop égalitariste avec une échelle d’allocations et de primes n’incitant pas les compétiteurs à devoir s’affronter et donc à dégager une élite.

Un comble pour des courses de chevaux dont l’objectif premier est la sélection !